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Ouvrages traduits par Jennifer K. Dick

Née en 1970, Jennifer K. Dick a grandi à Iowa City (États-Unis) et réside actuellement à Mulhouse où elle est maître de conférences à l’université de Haute-Alsace et membre du labo de recherche ILLE. Spécialisée dans le travail du texte et de l’image, elle a obtenu son DEA en 2003 et son doctorat en littérature comparée en 2010 à l’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3. En tant que chercheuse, Jennifer K. Dick explore des espaces limitrophes entre la poésie et l’art contemporain, la traduction et l’écriture. Elle s’intéresse à la littérature qui transgresse les normes des formes et des pratiques littéraires (à la fois linguistiques et visuelles). Elle est l’autrice de plusieurs ouvrages de poésie en anglais, publiés aux États-Unis. Son prochain livre bascule entre une écriture en anglais et en français : « That Which I Touch Has No Name » (Eyewear, Londres, 2020). Elle a également co-dirigé 2 livres critiques sur la traduction en sciences sociales, organise un cycle de lectures bilingues à Paris depuis 15 ans (Ivy Writers Paris) et co-organise avec Sandrine Wymann depuis 10 ans « Écrire l’Art », une résidence pour des auteurs français à la Kunsthalle Mulhouse Centre d’Art Contemporain. Un ouvrage qui rassemble les textes des 10 premières années de cette résidence vient de sortir : « Dossier des ouvrages exécutés » (Presses du réel, 2019). Parmi ses traductions récentes, on compte le chapitre d’Yves Peyré dans le catalogue Takesada Matsutani (co-édition Hauser & Wirth Publishers et Centre Pompidou, juin 2019), le programme catalogue pour l’exposition de la plasticienne Véronique Arnold (Galerie Buchman, Lugano, 2018) et, à paraître : une série de poèmes par Jean-Michel Espitallier dans Read 6, (1913 press, États-Unis, 2020). Pour en savoir plus, voir son entretien avec Emmanuèle Jawad sur Diacritik : « Le Spectre des Langues Possibles » (automne 2016).